Le moins qu'on puisse dire de La Influencia, c'est que le film va au-delà de ses promesses. Annoncé comme film radical, il plonge le spectateur dans une courte heure et demi d'ennui qui semble durer une éternité.
Le scénario tient quant à lui en quelques mots : une femme s'enfonce inexorablement dans la dépression. Elle a pourtant un travail, un logement, deux beaux enfants inscrits dans une école privée. A la lutte contre la maladie dans laquelle elle se laisse enfermer, elle préférera une totale apathie, se déchargeant de ses moindres responsabilités sur les épaules du petit Roméo, encore enfant, et de Casilda, tout juste adolescente.